Ces vies volées…
Ce que nous venons d’apprendre est d’une horreur indicible. Les corps de six jeunes otages israéliens, froidement exécutés dans un tunnel de Gaza par les barbares du Hamas, révèlent une vérité que beaucoup refusent de voir : nous faisons face à une guerre de civilisation.
Hersh Goldberg-Polin, Eden Yerushalmi, Ori Danino, Alex Lobanov, Carmel Gat, et Almog Sarusi ne sont pas seulement les victimes d’un acte terroriste. Ils sont les martyrs d’un conflit qui oppose, de manière inexorable, ceux qui défendent la vie, la liberté, et la dignité humaine, à ceux qui vénèrent la mort, la haine et la barbarie.
Le massacre de ces jeunes gens, enlevés vivants et exécutés comme des bêtes, est un acte de guerre contre Israël, mais aussi contre l’Occident tout entier. Il est temps de regarder la réalité en face : le Hamas n’est pas un simple mouvement de résistance, n’en déplaise à la député européenne Rima Hassan. C’est une organisation terroriste, nourrie par une idéologie de haine antisémite et anti-occidentale, qui cherche à détruire tout ce que nous représentons. Leur barbarie n’a pas de limites, et leur haine n’a pas de frontières.
Mais où sont les cris d’indignation des grandes consciences occidentales ? Où sont les dénonciations enflammées de ceux qui, habituellement, se font les hérauts des droits de l’homme ? Le silence est assourdissant, et cette lâcheté morale est complice de la barbarie. L’Occident, englué dans sa culpabilité post-coloniale, se refuse à voir la réalité : nous sommes en guerre, et cette guerre n’est pas seulement militaire, elle est idéologique.
Il ne s’agit pas ici d’un simple fait divers tragique, mais d’un épisode de plus dans une guerre globale que nous nous refusons à nommer. La question n’est plus de savoir si Israël doit négocier ou non avec ces monstres, mais de comprendre que leur extermination est une nécessité. L’idée même de négociation avec des entités qui glorifient la mort et l’assassinat d’innocents est une aberration. Le Hamas ne cherche pas la paix, il cherche la victoire par la terreur. Et face à cela, il n’y a qu’une réponse : la fermeté absolue, la guerre totale.
En mémoire de Hersh, Eden, Ori, Alex, Carmel, et Almog, le monde doit s’engager dans cette guerre avec détermination. Leurs vies brisées sont un rappel brutal que le temps des illusions est révolu. La barbarie doit être combattue sans relâche, car de cela dépend la survie d’Israël, et celle de l’Occident.