Les photos de Nir Arieli sont d’une poésie assez… atypique.
Le photographe, qui a étudié a Betsalel est basé a New York, éprouve en effet une fascination pour les danseurs qui d’après lui ont plus que leur part de féminité dans leur masculinité.
Jusqu’ici le photographe en est déjà à sept projets majeurs. Je voudrais vous en présenter trois :
Mens : le dossier explore la part de féminité chez l’homme dans toutes sortes de situations.
Inframen explore les cicatrice que les danseurs infligent à leur corps en apparence parfait et maîtrisé grâce aux infrarouges.
Tensions : Encore des danseurs. Sauf que cette fois, comme le dit le titre, les photos capturent les tensions dans leurs mouvements.
Source : http://www.nirarieli.com/